Le scientifique canadien Michael Meany a reçu le prestigieux prix de 100 000 $ de l’Alberta Heritage Foundation pour ses recherches sur la façon dont le toucher parental peut aider à soulager le stress chez la progéniture en modifiant la chimie du cerveau qui déclenche un gène de soulagement du stress.
Selon le diffuseur de la SRC, le professeur de l’Université McGill menait la première phase de son étude sur les rats de laboratoire. Ceux d’entre eux qui léchaient le plus souvent la fourrure de leur progéniture, les bébés étaient plus calmes et moins craintifs que ceux dont on s’occupait moins attentivement. De plus, des descendants soigneusement soignés étaient mieux en mesure d’exécuter certaines des tâches que les expérimentateurs leur avaient assignées.
Le prix reçu, selon la SRC, le professeur a l’intention de se consacrer à l’étude de l’interaction entre parents et enfants dans l’environnement humain. Il pense qu’une étude approfondie de cette question peut aider à diagnostiquer les maladies à mesure que les enfants grandissent. « Nous avons essayé de comprendre le stade intermédiaire qui se situe entre le danger de la maladie et la maladie réelle à l’avenir », a déclaré le professeur Mini dans une interview avec la société de télévision. « Après tout, les conditions dans lesquelles les enfants deviennent prédisposés à l’obésité, au diabète ou les maladies cardiovasculaires dépendent largement des parents. « Nous essayons d’identifier des méthodes d’interaction entre parent et enfant qui pourraient réduire le risque de ce type de maladie. »